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Commentaires
Klael
07/12/2014 00:41:14
Le design a mal vieilli on ne peut pas le nier par contre la réalisation est tellement ingénieuse. A chaque scène le réalisateur cherche à se renouveler et à faire des plans plus intenses et original que les précédents, c'est assez stupéfiant.
Klael
07/12/2014 00:42:07
originaux*
Ein
11/06/2019 10:55:46
Rintaro qui confirme que l'on peut faire de la belle animation rythmé même avec un enchaînement de plans fixes. C'est en effet ingénieux à chaque combat. Je me souviendrai de celui contre la femme qui se crée des clones avec plein de papillon autour d'elle, c'est magnifique, la bande son envoie bien du lourd aussi.
Il y a une petite vidéo comparative de kill la kill qui fait une belle référence au film et rien à y faire je préfère 100 fois la mise en scène de Kamui.
kill la kill x kamui
Message édité
Ineusleau
11/06/2019 15:39:21
Malheureusement pour le combat avec la femme papillon, aussi beau ça pouvait être, je flippais un peu la crise d épilepsie comme ça enchaînait du rouge et du vert (je suis pas épileptique mais je me suis toujours méfié de ça)
Ein
11/06/2019 16:21:41
Maintenant faut tu mates Ninja scroll et son decoupage affûté. C'est la même chose en mieux.
Charadesign typique de ces années là avec ces magnifiques femmes aux courbes fines, ces hommes les vrais avec des mentons bien carrés et des combattants avec leur propre spécialisé. Du sang, des femmes nu tatoué et un personnage principal bien classe.
Message édité
kaelin
11/06/2019 17:18:09
Revu légèrement à la hausse. Ca fait un bye que c'était prévu pour cet animé visionné en VHS il y a 25 ans à l'époque bénie des premières arrivées en vidéo-club (Ninja Scroll, mais aussi La Cité interdite, Urotsukidoji, la série Lodoss...).
La mise en scène est souvent virtuose, variant habilement formes et couleurs pour conférer une dynamique très fluide. Dommage que le scénar soit totalement bâclé, à la fois foutraque et répétititif (je sauve des grosses brutes//je m'évanouis//je rencontre un perso-clé et j'en tue un autre...).
Ineusleau
11/06/2019 18:37:45
Yep Ninja Scroll est dans mes envies depuis un certain temps, hâte.
Oui, c est vrai que c est barbant comme scénario, au bout de l heure et demi, ça s essouffle, mais je reste impressionné comment ça se démerde pour être trop chiant là dessus. La seule grosse faute à mon avis, c est le perso du gamin random qui ne sert vraiment à rien. Passe encore le coup de l indienne française rencontrée totalement au pif, puisque les japonais ont une conception particulière du destin qui fait mieux passer ces facilités de scénario.
Et ça reste moins lourdingue que Harmageddon ou X. Je crois pas que le réalisateur ait déjà fait un film solude sur le scénario et le rythme.
Ein
11/06/2019 18:58:23
Le cas de l'esclave noir ne t'a pas dérangé?
C'était un peu malaisant je trouve...
Ineusleau
11/06/2019 19:05:40
Quand t as lu Ippo, plus rien ne te choque sur la perception des noirs par les japs.
Mais quand il dit "Si maître mourir, alors moi mourir" c est gênant oui, alors que les indiens et les américain les plus caricaturaux parlent correctement.
Yayap
18/12/2021 13:32:48
Avis
Perso j’ai vraiment adoré. Je peux comprendre le côté répétitif que certains relèvent mais j’ai juste été pris dans cette aventure qui prend des proportions assez énormes passé un certain stade du récit pour devenir une vraie épopée d’aventure. L’histoire nous fait pas mal voyager et parvient tout de même à renouveler ses enjeux. Bon le fond est assez classique : un perso au background tragique que le destin met face à un adversaire périlleux avec qui il a un lien intime, qui se lance dans une quête, affronte des ennemis, croise des alliés… C’est tout ce que j’attends de ce genre d’histoire, d’autant plus que si l’accent est mis sur les péripéties et les affrontements, le film n’oublie jamais de rappeler les motivations profondes de son héros et donne au tout une certaine sensibilité et une vraie amertume (on est davantage face à une origin story de héros solitaire à la Zatoichi qu’à un récit chevaleresque). La longueur a également l’avantage de vraiment transmettre le sentiment du passage du temps, quand le duel final arrive on ressent vraiment cet éreintement, comme si les deux ennemis se traquaient depuis des années.
Sinon, forcément c’est Rintaro donc c’est superbement réalisé. C’est peut-être celui qui maîtrise le mieux cette animation “à l’ancienne” (tout ce qui est pré-Akira en somme) où il n’y a pas énormément de mouvement au sein du cadre mais où tout passe par une utilisation ultra-précise des cadrages, des couleurs, du montage pour donner des affrontements aussi épiques que variés. J’ai lu que le film était un peu un proto-Ninja Scroll et c’est vrai qu’on retrouve le même squelette et ce concept d’un enchaînement d’affrontements contre des persos au design fort et aux pouvoirs chelous. Et autant j’ai peut-être préféré les combats de Ninja Scroll, autant ici j’ai davantage été pris par l’ampleur de l’histoire.
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