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Post Tenebras Lux
Carlos Reygadas
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2012
Viridiana
Luis Buñuel
Espagne
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1961
1h30
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Commentaires
marcosocho
30/01/2012 21:54:21
Ca sert à quoi d’enchaîner les symboles avec une histoire décousue? Quelques scènes sont pas mal tout de même.
Goldi
18/04/2013 15:18:25
Le bordel qu'a du créer le film lors de sa sortie
Goldi
18/04/2013 15:19:16
@Zappa , mon ami, tu peux tenter de dénicher des screens de ton côté ?!
Kino
18/04/2013 17:01:03
@Goldi Non désolé, ce sont déjà les screens KG que j'avais ajouté
Goldi
19/04/2013 11:37:29
Ah d'accord
Merci quand même !
Garbage
09/06/2013 23:05:55
Je suis un peu comme marcosocho, la montée en puissance du film contraste avec le début très lent, sans véritable avancée, et même si ce contraste est recherché et est nécessaire je retiendrai surtout la seconde partie du film, la première est trop peu appuyée j'ai trouvé, en tout cas moins que la seconde.
Garbage
09/06/2013 23:18:34
(n'empêche 3 marco je trouve ça abusé, car ok on peut reprocher un certain manque de fluidité et de cohérence, mais toute la seconde partie, en comparaison de la première et évolution de Viridiana, est assez dantesque)
Tchitchoball
30/05/2018 20:50:01
Clairement le meilleur Bunuel à mes yeux pour le moment. N'ayant pas forcément le bagage nécessaire, ces symbolismes et élans fantaisistes me laissaient un peu sur le carreau habituellement.
Ici, le récit cruel et intelligemment ficelé sert le discours du réalisateur et ses symboles et non l'inverse je trouve.
Un film qui prend aux tripes et qui se permet énormément de choses pour 1961 tout en étant intelligent. Il mérite vraiment son aura pour ma part.
Zering
30/05/2018 21:20:40
Tu as vu quoi de Bunuel?
La legende veut que Bunuel, apres 'Terre sans pain', aurait juré qu'il ne ferait pas un film en Espagne tant que celle-ci serait fasciste, pour se parjurer en 61 avec Viridiana... Seulement la légende veut aussi qu'il aurait pris les subventions du gouvernement fasciste pour faire un film qui n'avait rien a voir avec celui promis et se tirer avec le négatif pour le diffuser partout en Europe comme un crevard
Quand a ses films en eux-mêmes, ils sont a l'image du bonhomme ; complètement imprévisibles et irrévérencieux. Mais en dehors de sa période surréaliste je trouve qu'il est facile de se plonger dans ses récits, souvent il y a une base narrative accessible au-delà du symbolisme et de l'humour foutraque.
Tchitchoball
30/05/2018 22:20:22
Ah ouai géniale ton anecdote !
- Le charme discret de la bourgeoisie
- Cet obscur objet du désir
- Belle de jour
J'ai découvert le réalisateur avec ce dernier il y a déjà quelques temps mais j'en garde un bon souvenir.
Les deux autres me parlent moins en effet.
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