-Destination pour Torajiro : Shinshū (abréviation pour la Province de Shinano, je me coucherai moins bête!) -Crush Amoureux : Sanae Mizuno la plus belle madone de la série, récemment divorcée qui a trouvé un emploi à la boutique des Kuruma. -Incarnation dans le rêve de Torajiro : Tora Buddha qui récompensera Sakura pour sa gentillesse et sa sincérité, rêverie qui prend un joli aspect de conte. -Scène coup de cœur : Il y en a beaucoup dans celui-là ! Le rêve en fait partie mais l'ensemble des scènes comiques qui retrouvent la vitalité des meilleurs épisodes ! On pourrait dire qu'elles ont des allures de vaudeville? Assister à cette séquence hilarante où Torajiro simule d'être malade devant sa sœur pour ne pas partir en voyage (et rester aux côtés de la jolie nouvelle serveuse) est un joyeux moment de bouffonnade qui entraine plusieurs vagues de situations irrésistibles ! -Scène coup de coeur bis : La rencontre avec ...le père de Hiroshi (le vétéran Takashi Shimura) lors de son voyage, sublime moment de plénitude et de sagesse au cours duquel Torajiro apprendra une belle leçon de vie qu'il tâchera d'appliquer lors de son retour à Shibamata! Et puis cette musique classique, sublime...
Il a toutes les qualités pour faire partie des meilleurs celui-là ! Ca fait un moment que je ne me suis pas autant esclaffé devant un Tora-San, le voyage de notre vagabond est merveilleux en plus d'une rencontre avec un prête plutôt mystique lors de la traversé d'un pont, d'ailleurs il y aura un autre moment aussi mystérieux se glissant discrètement lors de cette incroyable improvisation oratoire de Torajiro où il sait avec son incroyable talent oratoire capter l'attention de la famille comme celle du public, une grande caractéristique de la série et surtout du personnage que je me devais de rappeler.
La madone est très jolie, avec son caractère doux, sa voix modérée et rassurante, ce petit rire tellement trognon quand elle dit que "Tora est très populaire" suite à la venue très embarrassante d'une autre connaissance au caractère diamétralement opposé, c'était à dire qu'elle est carrément atteinte de logorrhée à ce niveau là
Cette fois ci l'instant émotion le plus émouvant de chaque film, lors du grand départ de fin, ne se fera pas entre Sakura et son frère mais avec le père de Hiroshi, sage et laconique qui confirme une nouvelle fois que ces grands acteurs de l'âge d'or du cinéma japonais ont un charisme immuable sous la houlette de Yoji Yamada qui leur rend hommage une ultime fois (surtout pour Takashi Shimura qui mourra quelques années plus tard). Cette scène justifie vraiment de visionner les films dans leurs ordres respectifs parce que je vois plusieurs critiques conseiller certains titres plus que d'autres pour commencer (wtf??) mais ça serait passer au travers de moments très sensibles où le drame touche le spectateur parce qu'il sait être aussi silencieux et qu'il s'accumule depuis plusieurs années déjà. Sans avoir connaissance des liens entre Hiroshi et son père dans le 1er film, la rencontre mémorable entre ce dernier et notre chat errant dans le 8ème film qu'est ce que tu veux comprendre à tout ce qui se passe ici ?
Du coup regardez les dans l'ordre; quel conseil à la con.
Et comme dans le précédent la famille doit faire face à la récession économique qui touche le pays et fragilise les petits commerçants, l'imprimerie a toujours été en difficulté mais ici c'est d'avantage prégnant que ce soit avec les problèmes de santé de l'oncle dans le 21 ou l'énorme quiproquo concernant le boss dans le 22, dans tous les cas ça débouche sur la même chose : le départ précipité de Torajiro.Message édité
-Crush Amoureux : Sanae Mizuno la plus belle madone de la série, récemment divorcée qui a trouvé un emploi à la boutique des Kuruma.
-Incarnation dans le rêve de Torajiro : Tora Buddha qui récompensera Sakura pour sa gentillesse et sa sincérité, rêverie qui prend un joli aspect de conte.
-Scène coup de cœur : Il y en a beaucoup dans celui-là ! Le rêve en fait partie mais l'ensemble des scènes comiques qui retrouvent la vitalité des meilleurs épisodes ! On pourrait dire qu'elles ont des allures de vaudeville? Assister à cette séquence hilarante où Torajiro simule d'être malade devant sa sœur pour ne pas partir en voyage (et rester aux côtés de la jolie nouvelle serveuse) est un joyeux moment de bouffonnade qui entraine plusieurs vagues de situations irrésistibles !
-Scène coup de coeur bis : La rencontre avec ...le père de Hiroshi (le vétéran Takashi Shimura) lors de son voyage, sublime moment de plénitude et de sagesse au cours duquel Torajiro apprendra une belle leçon de vie qu'il tâchera d'appliquer lors de son retour à Shibamata! Et puis cette musique classique, sublime...
Il a toutes les qualités pour faire partie des meilleurs celui-là ! Ca fait un moment que je ne me suis pas autant esclaffé devant un Tora-San, le voyage de notre vagabond est merveilleux en plus d'une rencontre avec un prête plutôt mystique lors de la traversé d'un pont, d'ailleurs il y aura un autre moment aussi mystérieux se glissant discrètement lors de cette incroyable improvisation oratoire de Torajiro où il sait avec son incroyable talent oratoire capter l'attention de la famille comme celle du public, une grande caractéristique de la série et surtout du personnage que je me devais de rappeler.
La madone est très jolie, avec son caractère doux, sa voix modérée et rassurante, ce petit rire tellement trognon quand elle dit que "Tora est très populaire"
Cette fois ci l'instant émotion le plus émouvant de chaque film, lors du grand départ de fin, ne se fera pas entre Sakura et son frère mais avec le père de Hiroshi, sage et laconique qui confirme une nouvelle fois que ces grands acteurs de l'âge d'or du cinéma japonais ont un charisme immuable sous la houlette de Yoji Yamada qui leur rend hommage une ultime fois (surtout pour Takashi Shimura qui mourra quelques années plus tard). Cette scène justifie vraiment de visionner les films dans leurs ordres respectifs parce que je vois plusieurs critiques conseiller certains titres plus que d'autres pour commencer (wtf??) mais ça serait passer au travers de moments très sensibles où le drame touche le spectateur parce qu'il sait être aussi silencieux et qu'il s'accumule depuis plusieurs années déjà. Sans avoir connaissance des liens entre Hiroshi et son père dans le 1er film, la rencontre mémorable entre ce dernier et notre chat errant dans le 8ème film qu'est ce que tu veux comprendre à tout ce qui se passe ici ?
Du coup regardez les dans l'ordre; quel conseil à la con.
Et comme dans le précédent la famille doit faire face à la récession économique qui touche le pays et fragilise les petits commerçants, l'imprimerie a toujours été en difficulté mais ici c'est d'avantage prégnant que ce soit avec les problèmes de santé de l'oncle dans le 21 ou l'énorme quiproquo concernant le boss dans le 22, dans tous les cas ça débouche sur la même chose : le départ précipité de Torajiro.Message édité