Ce que je sais du poliziottesco, polar urbain italien :
Dans les années 70, il ne faisait pas bon vivre en Italie. Mafia, attentats terroristes et la délinquance se fait de plus en plus présente, l'insécurité règne sur le pays. Castellari avoua lui-même qu'il ne sortait plus de chez lui sans une arme.
Résultat : les poliziottesci apparaissent, où tous les milieux sont corrompus et où il est surtout déconseiller de ne promener dans un bois la nuit, ou même dans la rue en plein jour, n'importe où et n'importe quand en fait vu que les voyous occupent chaque coin de rue.
Pour ceux que j'ai vu, j'ai pour l'instant remarqué qu'il y avait deux types de poliziottesco :
- Les flics privilégiant les méthodes expéditives façon Dirty Harry. Le commissaire Tanzi en est le bon exemple.
- Un homme honnête qui se retrouve confronté à un problème d'insécurité. Il essaiera de le résoudre par les moyens légaux mais la violence qui le dépasse le fera pratiquer la justice avec une arme. Que ce soit un flic dans Il grande racket ou un simple garagiste dans Colère noire.
Bref, le système se retrouve insulté par la violence et les méthodes expéditives. L'Italie à main armée.
Tu me rappelles une anecdote concernant Rue de la violence... L'Italie était tellement retournée à l'époque du tournage que lorsque De Martino et sa troupe d'acteurs ont essayé de tourner une des scènes du braquage du film, la police a débarqué, croyant à un véritable vol a main armée
Une preuve de plus que le cinéma italien est totalement une terra incognita pour moi (tout ce qu'il y a à découvrir... c'est excitent et en même temps ça file un peu le vertige)
Dans les années 70, il ne faisait pas bon vivre en Italie. Mafia, attentats terroristes et la délinquance se fait de plus en plus présente, l'insécurité règne sur le pays. Castellari avoua lui-même qu'il ne sortait plus de chez lui sans une arme.
Résultat : les poliziottesci apparaissent, où tous les milieux sont corrompus et où il est surtout déconseiller de ne promener dans un bois la nuit, ou même dans la rue en plein jour, n'importe où et n'importe quand en fait vu que les voyous occupent chaque coin de rue.
Pour ceux que j'ai vu, j'ai pour l'instant remarqué qu'il y avait deux types de poliziottesco :
- Les flics privilégiant les méthodes expéditives façon Dirty Harry. Le commissaire Tanzi en est le bon exemple.
- Un homme honnête qui se retrouve confronté à un problème d'insécurité. Il essaiera de le résoudre par les moyens légaux mais la violence qui le dépasse le fera pratiquer la justice avec une arme. Que ce soit un flic dans Il grande racket ou un simple garagiste dans Colère noire.
Bref, le système se retrouve insulté par la violence et les méthodes expéditives. L'Italie à main armée.